Commentaires sur l’Atlas historique d’Alexandrie (Publications spéciales de la Société royale de géographie du Caire; Le Caire: Imprimerie de l’Institut français d’archéologie orientale, 1922), p. 8 commenting on a Vatican map from 1472 notes:
Presque sur le bord du rivage, au nord-est de la cité, au pied des marches de deux monuments funéraires surmontés d’un dôme, se lisent les noms de saint Marc et de sainte Catherine… C’est sur ce tombeau de saint Marc, l’année 311 de Jésus-Christ, que vint prier l’évêque Pierre avant d’être mené à la mort dans la vallée des sépultures d’Éleusis.
Almost on the edge of the shore, to the northeast of the city, at the foot of the steps of two funerary monuments topped with a dome, one reads the names of Saint Mark and Saint Catherine… It was at this tomb of Saint Mark, in the year 311 of Jesus Christ, that Bishop Peter came to pray before being led to his death in the valley of the tombs of Eleusis.
Henri Thuile, Commentaires sur l’Atlas historique d’Alexandrie, 1922), the explicit “Saint Mark / tomb” reference tied to a map is in the note on “PLANCHE VII” (Olivier Dapper’s plate, described as basically a reprint/variant of Blaeu’s earlier plate)
PLANCHE VII. — La planche VII du médecin hollandais Olivier Dapper établi à Amsterdam, auteur de nombreux ouvrages de compilation géographique, ne paraît être qu’une réimpression avec légères variantes de la planche V de Blaeu. J’y retrouve la porte du Kaire, celle du Nil, la porte Del Pepe devenue porte del Pero et la porte de la Marine devenue porte de la Mer. Les mosquées ont gardé par leur aspect le même mépris de l’Histoire sans que ce soit le lieu du martyre de sainte Catherine qui en ait profité, car Jacques de Voragine, dans sa Légende, et Jean Mielot, dans sa Vie de sainte Catherine, affirment également qu’elle fut conduite au supplice hors de la porte de la cité d’Alexandrie. …
Dapper nous désigne également le sépulcre de saint Marc. Le corps de l’évangéliste en avait été enlevé depuis l’an ft 68 sous le règne de l’empereur Léon pour être transporté à Venise dans l’église sur l’emplacement de laquelle s’élève aujourd’hui la basilique qui porte son nom. …”
“PLATE VII. — Plate VII by the Dutch physician Olivier Dapper (based in Amsterdam), an author of many compilatory geographical works, seems to be only a reprint with slight variants of Blaeu’s Plate V. I find again the Cairo Gate, the Nile Gate, the Del Pepe Gate (now called del Pero), and the Marine Gate (now called the Sea Gate). The mosques have kept, in their appearance, the same contempt for history—without even the place of Saint Catherine’s martyrdom benefiting from it—since Jacobus de Voragine in his Legenda and Jean Mielot in his Life of Saint Catherine both state that she was led to execution outside the gate of the city of Alexandria. …
Dapper also indicates for us the sepulchre of Saint Mark. The evangelist’s body had been removed from there since the year “ft 68” (as printed here) under the reign of the emperor Leo, to be transported to Venice, to the church on whose site stands today the basilica that bears his name. …
Later we read:
“… le tombeau de l’évangéliste à proximité du Grand Port oriental comme le veut la tradition. C’est sur ce tombeau de saint Marc, l’année 311 de Jésus-Christ, que vint prier l’évêque Pierre avant d’être mené à la mort dans la vallée des sépultures d’Éleusis.”
“… the tomb of the evangelist [is placed] near the Great Eastern Harbor, as tradition requires. It was at this tomb of Saint Mark, in the year 311 of Jesus Christ, that Bishop Peter came to pray before being led to his death in the valley of the graves of Eleusis.”